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Nos bénévoles avec des enfants d’Artsakh.

Cela fait maintenant 11 mois que les 120 000 réfugiés d’Artsakh sont installés en Arménie.

Nos bénévoles sont continuellement sur le terrain pour évaluer leurs besoins et leur venir en aide.

Grâce à vos dons 

Nos bénévoles sont de retour en Arménie afin d’apporter de l’aide humanitaire auprès des familles déplacées d’Artsakh se trouvant dans la région du Gegharkunik, à l’est de l’Arménie. 

Ils ont distribué des denrées alimentaires, des serviettes, des draps et des produits de première nécessité.

Chaque famille à également reçu une enveloppe d’un montant de 160€ de la part de @teameventsolidarite suite à une vente aux enchères. Merci à toute l’équipe pour votre mobilisation et d’avoir pensé à notre association. 

Grâce à votre soutien, nous pouvons nous mobiliser en faveur des arméniens touchés par les malheurs de la guerre.

Merci à tous pour votre contribution !

🇺🇦 Visite d’un centre de premiers secours. 

Lors de ma dernière mission, nous nous étions rendus dans le secteur d’Adviivka pour évaluer les besoins et l’aide à apporter.

La situation ne s’est guère améliorée depuis mon passage. L’unité médicale a dû être redéployée dans l’oblast de Kharkiv pour faire face à l’offensive Russe.

Nombreux sont les transports de troupes et blindés que nous croisons en renfort sur la route. 

La situation est tendue et reste palpable, tout n’est que destruction à 50km à la ronde. 

Une pluie d’acier s’est abattue sur ces terres, il est d’ailleurs indiqué sur toute la longueur du trajet de ne pas sortir des rangs sous peine de tomber sur des mines ou autres engins de mort non explosés…

Sur la route, nous rebroussons chemin, le pont sur lequel nous devions passer a été détruit quelques jours auparavant. Au loin nous entendons les échanges de tirs, nous ne trainons pas ! 

Nous en arrivons à demander aux villageois par où passer. 

Un cinquantenaire s’embarque dans l’ambulance pour indiquer le chemin de notre convoi.

Nous franchissons enfin cette rivière sur un pont de fortune, le principal étant lui aussi détruit au début de la guerre.

S’ensuit une interminable route jonchée de trous d’obus, de carcasses de chars calcinés ; pour enfin arriver dans la nuit à notre point de chute.

Mon collègue me fait remarquer une succession de flash ; ce sont des bombardements, à une vingtaine de kilomètres seulement.

Sur place les ambulances sont cachées sous des filets camouflages et la faune sauvage avoisinante.

L’atmosphère est spartiate, et le bâtiment vétuste à l’extérieur ne laisse guère imaginer la fourmilière de Medic à l’intérieur.

Tout est parfaitement organisé, une équipe se relaie nuit et jour pour accueillir son flot de blessés et prodiguer les premiers soins. 

Leur rôle : stabiliser les patients pour qu’ils puissent être évacués dans les meilleures conditions.

Le lendemain matin, nous assistons à l’évacuation d’un soldat blessé à l’épaule par un éclat d’obus. Tout le monde est à son poste, le chirurgien s’affaire à stopper toute hémorragie, les infirmiers et ambulanciers préparent le brancard et les bandages nécessaires pour faciliter le transport en toute sécurité.

L’officier de ce jeune blessé est à ses côtés pendant l’opération il ne le quittera qu’à son départ pour l’hôpital.

Dans l’ambulance, encore sonné par les évènements, le soldat se contentera de demander simplement une cigarette et son départ se soldera par un « Slava Ukraini ».

Voici le quotidien d’une unité médicale

Photo prise dans le bloc opératoire 

xavier.photographie©

Distribution alimentaire dans l’oblast de Koupiansk.

Accompagnés de volontaires ukrainiens de Kharkiv nous nous sommes rendus à une dizaine de km de la ligne de front pour venir en aide à la population.

Celle-ci se retrouve isolée et abandonnée de tous. Du fait de leur âge et de leur handicap, certains villageois n’ont pas pu être évacués. 

Ni le gouvernement ni les ONG ne sont présentes sur place pour leur porter assistance.

Nous avons donc décidé de leur venir en aide en apportant des colis alimentaires. 

Grâce à vos dons, ce sont près de 50 colis alimentaires qui ont pu être distribués.

Avec seulement 10 euros de dons, vous nous permettez d’apporter 1 semaine de vivres à un foyer en souffrance, au plus proche du front. 

Nous n’hésitons pas à prendre des risques : Aidez-nous à les rendre le plus utile possible !

 

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Les civils doivent faire face aux bombardements quotidiens liés à la guerre.
Les habitations civiles ne sont également pas épargnées par les bombardements russes.
Nos bénévoles se sont rendu et recueilli dans le cimetière militaire de Dnipro et ont pu constater les ravages et l’horreur de la guerre.
Distribution de denrées alimentaire et de médicaments sur la ligne de front à destination des civils. Malgré des bombardements incessants, nos bénévoles restent sur place afin d’apporter leur aide aux civils qui ne peuvent être évacués.
Exposition organisée à Kiev par les familles des combattants d’Azovstal un an après le début de la guerre avec la Russie. Aujourd’hui encore 700 prisonniers de Mariupol sont internés.
Lors d’un bombardement russe, un immeuble de 9 étages a été touché par une roquette causant la mort de 13 civils et en blessant 49 autres. Parmi les victimes, un enfant sera tué et d’autres seront blessés grièvement.
Une femme Ukrainienne accompagne les bénévoles de l’association pour constater les dégâts causés par les bombardements russes à Zaporijia. Sur la photo, les débris d’un restaurant implanté dans un parc d’attractions pour enfants.
Distribution de matériel médical dans un centre logistique à Zaporijia à destination de postes de secours en première ligne.
Exposition organisée à Kiev par les familles des combattants d’Azovstal un an après le début de la guerre avec la Russie. Aujourd’hui encore 700 prisonniers de Mariupol sont internés.
En partenariat avec Vil’ni humanitaire – soutien à l’Ukraine, nos bénévoles livrent dans les hôpitaux de Kiev du matériel médical comprenant des seringues, des bandages, des médicaments divers, des bornes de monitorings pour le suivi des patients, des défibrillateurs et un endoscope, des vêtements chauds comme des vestes et des sous-vêtements pour le grand froid, des couettes, des lits de camps, des duvets. Il y a aussi des jouets pour enfants.
Alors que les combats font rage à Bakhmut fin décembre, nos volontaires livrent du matériel médical dans un centre médical à Kyiv. Urgence Humanitaire remercie son partenaire Vil’ni humanitaire – soutien à l’Ukraine pour sa collaboration et sa donation de matériel médical. Des jouets ont également été remis au service social pour le noël des enfants où le père est prisonnier ou a été tué à Mariupol.
Lors de la libération de Koupiansk, les combats ont été particulièrement durs dans la région. De nombreux chars et véhicules de combat jonchent les routes.
Alors que leurs hommes sont à la guerre, les femmes s’affairent à assembler des morceaux de tissus pour fabriquer des filets de camouflage à Kiev.
Ici se trouvait une église dont seule la croix est restée intacte suite aux bombardements qui ont touché la région de Koupiansk.
Aujourd’hui dans les territoires libérés, tout est à reconstruire, comme ici à Koupiansk, ou des munitions et différents explosifs (obus, roquettes…) jonchent le sol. Il faudra plusieurs semaines pour procéder au déminage de la zone et mettre en sécurité la population.
Un soldat ukrainien, défenseur de Marioupol sous le pseudonyme « Pachka » a souhaité partager avec nous son histoire de service, de guerre, de blessure et de réhabilitation : « Je m’appelle Vlad. J’ai appris le début de l’invasion à 4 heures du matin le 24 février. Nous avons participé à l’évacuation de la base et avons été les derniers à la quitter. Marioupol d’avant-guerre était une magnifique ville, mais Marioupol est devenue grise pendant la guerre. Le 16 mars, avec mon ami Barik, nous avons été blessés lors d’une mission de combat. J’ai été blessé par un obus de char et mes camarades ont été blessés par un tir de mitrailleuse. Je suis resté allongé sur l’asphalte pendant deux heures, puis un soldat m’a trouvé et m’a évacué vers le centre médical d’Azovstal. Ils m’ont alors fourni une assistance médicale sur place. Et le 28 mars, j’ai été évacué par hélicoptère. Je suis actuellement dans un centre de rééducation J’ai obtenu une prothèse et aujourd’hui les médecins travaillent à restaurer ma capacité à marcher. Leur objectif est que je puisse courir à nouveau après avoir terminé mon séjour en maison de rééducation. Je suis reconnaissant de l’aide qui m’a été apportée. Et nous sommes reconnaissants pour la contribution des Ukrainiens et de l’aide des français, grâce à laquelle les histoires de réhabilitation réussie deviennent une réalité ! »
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Grâce à vos dons et en partenariat avec des ONG sur place, l’association Urgence Humanitaire a pu se procurer et livrer différentes prothèses à des blessés de guerre en Ukraine : des survivants et des grands blessés de Mariupol et d’Azovstal. Mais le nombre de soldats amputés est grand et nous avons besoin de vous afin de nous permettre d’aider davantage de blessés. Avec 20 000€ vous nous donnez la possibilité de nous procurer une prothèse de jambe, avec 50 000€ une prothèse de bras, faites un don !
Dans la banlieue de Kharkiv, nombreux sont les infirmes ou personnes âgées a être prisonniers de leurs immeubles, en partie détruits, dont les ascenseurs ne fonctionnent plus. Nos bénévoles se mettent à leur disposition pour leur apporter denrées alimentaires et réconfort.
 Les bénévoles d’Urgence Humanitaire agissent toujours aux côtés des Ukrainiens à la préparation de kits de premiers secours à destination des antennes médicales qui se trouvent sur le front.  Avec 90€, vous financez une trousse complète qui servira à sauver des vies.
Achat de denrées alimentaires en vue de la préparation des colis alimentaires destinés aux civils sur la ligne de front.

Nos bénévoles distribuent des denrées alimentaires aux habitants de Kivshavivk, au pied des immeubles, à seulement quelques kilomètres de la ligne de front.

Avec seulement 30€ vous nous permettez de confectionner et livrer un colis alimentaire complet pour une famille.

Dans un bunker dans lequel des bénévoles de l’association sont réfugiés, se trouvent de nombreux chiens et chats qui ont été sauvé des bombardements par les volontaires ukrainiens.
 

Les Ukrainiens barricadent leurs monuments pour ainsi les protéger des bombardements. Lviv est un joyau du patrimoine européen dont les habitants craignent la destruction. 

Plusieurs fois par jour les sirènes antiaeriennes retentissent suite à des frappes effectuées en périphérie de la ville.

Distribution de matériel médical dans un centre de logistique et de premier secours à Lviv. Nos bénévoles récoltent ici du matériel en grande quantité avant de le distribuer dans toute l’Ukraine en guerre.

Récupération de matériel d’hygiène et médical à Ville de Hayange ce samedi. Avec les autres récoltes, notre camionnette est désormais pleine à craquer et nous nous dirigeons vers Lviv puis Kiev pour aider les populations en difficulté et apporter en personne du soutien moral aux victimes de la guerre.

Au coeur de l’Ukraine en guerre

Dès le 5 mars, nos volontaires étaient en Ukraine pour nouer des partenariats et apporter de l’aide. À Lviv, ils ont assisté au départ d’une véritable marée humaine de femmes et d’enfants fuyant la guerre.

En attendant le départ imminent de notre convoi, ils ont déjà pu déposer des médicaments et du matériel médical dans un centre de secours de Lviv.

Nous sommes l’une des seules ONG française à franchir la frontière pour témoigner directement de notre solidarité au peuple ukrainien qui périt sous les bombes. Aidez-nous à les soutenir en faisant un don su

Le départ des réfugiés ukrainiens est organisé depuis la gare de Lviv. Ils sont dirigés vers des bus ou des trains en direction de la Pologne.

144 prisonniers ukrainiens viennent d’être libérés. 95 d’entre eux étaient des défenseurs de l’usine Azovstal à Mariupol.

C’est un premier échange qui vient d’avoir lieux, d’autres suivront !

Récupération de matériel d’hygiène et médical à Ville de Hayange ce samedi. Avec les autres récoltes, notre camionnette est désormais pleine à craquer et nous nous dirigeons vers Lviv puis Kiev pour aider les populations en difficulté et apporter en personne du soutien moral aux victimes de la guerre.

Dimanche dernier, Kiev a subit une nouvelle attaque aérienne.

 
La roquette a heurté le toit d’un immeuble résidentiel de 9 étages dans le quartier de Lukyanovka et a démoli plusieurs étages supérieurs. Au total, 25 habitants ont été évacués d’une maison, où la roquette a frappé. Cela a été annoncé par le maire de Kiev Vitaliy Klitschko. Quatre victimes ont été hospitalisées, dont une fillette de 7 ans qui a été sortie des décombres, puis sa mère a également été secourue.